Monday 31 July 2017

Nouvelles


Image result for nouvellesJe n’ai jamais été aussi absente ici. Ça doit faire un peu plus de trois mois que je n’ai rien publié ici. Mais ce n’est pas que je n’écris plus mais c’est que je ne trouve pas assez intéressant mes sujets donc j’ai pris un peu de recul pour tout ça, et les choses se sont succédé, j’ai voulu parler de tellement de choses qu’au final je n’ai même plus parlé. Et puis je me suis adonnéà mon passe-temps favori, la lecture. J’ai lu sur des sujets qui me passionnent, je vous en ferais peut-être part à un certain moment de notre année mais pas pour le moment, je peux vous dire que j’étais assez émerveillée par tout ce que j’ai lu et je suis bien heureuse d’avoir eu un profond intérêt pour l’Anglais parce que l’information qui se cache dans cette langue est incommensurable et les traductions à coté sont vraiment loin de rendre le vrai goût de la chose telle que l’original. Et quand je suis en phase lecture, il est difficile pour moi d’écrire sans écrire sur ce que je lis, autrement dit si je ne laisse pas un petit écart entre les deux activités, je vais finir par partage la même pensée que celui que je lis alors que le but d’écrire c’est de partager sa pensée par rapport à celle des autres, sinon on pourrait juste conseiller des œuvres à lire aux gens.

Vous l’aurez compris c’est plus pour donner de mes nouvelles que pour autre chose ce billet. Depuis le début de l’année j’ai appris deux leçons qui gouvernent mon année. La première c’est la politesse et la cordialité ne coutent rien mais on ne peut pas l’exiger de tout le monde. Il faut être soi que l’on rende la pareille ou pas. S’il est plus facile pour vous d’être aimable et poli soyez le mais ne vous attendez pas toujours à ce que les autres en fassent de même, ce n’est pas ça le plus important. Faites honneur à votre personne et laissez les gens être ce qu’ils sont également. Et j’ai étendu cela au reste de ma vie, être aimable quand on peut, aider comme on peut, donner si on peut, de manière à ce que vous puissiez avoir la paix du cœur quand vous vous couchez le soir avec la certitude que vous avez apporté votre grain comme vous le pouviez autour de vous. Les gens évidemment seront les gens, mais ce qui me rassure c’est que j’ai fait de mon mieux et comme je crois en la loi du Karma je suis sereine que tout mal fait par une personne lui retournera à coup sûr. Ma seule prière c’est que je puisse être aux premiers rangs quand cela arrivera avec ma tasse de thé ou verre de vin (je sais je suis méchante comme ça). Une chose est sure toute difficulté est une occasion de grandir et donc j’accepte le bon, le mal et les difficultés avec parcimonie et patience. Tout concours à mon bien donc j’essaie de pas trop m’attacher à la douleur trop longtemps (c’est plus facile à dire qu’à faire mais je vous promets que ça en vaut vraiment la peine).

La deuxième chose que j’ai apprise c’est une copine qui me la dit et je l’ai trouvé tellement juste que je me suis demandée pourquoi je n’y avais pas pensé plutôt. Fais ce que tu peux avec ce que tu as et pries pour avoir ce que tu veux. Depuis, je me sens plus confiante. Moi en particulier j’ai tendance à me mettre la barre très haute et être stricte avec moi-même (et oui ce grand désordre c’est moi essayant d’être stricte envers moi même) et j’oublie d’être et de vivre. Je me prépare pour l’avenir en oubliant d’être un peu plus dans le présent. Ce qu’elle m’a dit ma éclairé, bien faire les choses du présent pour mieux créer son avenir. La révélation je ne vous dis pas, et depuis ben je me fais plaisir plus souvent. Pour moi me faire plaisir n’est pas nécessairement matériel c’est faire ce que je veux sans aucunes contraintes mentales ou préjugés. J’ai commencé à taire la voix qui me dit est-tu sûre que ce soit bien pour toi, ou comment les autres vont te regarder. Bref je le fais et c’est tout. Et souvent ça signifie marcher quelques mètres pour trouver une goyave ou prendre une deuxième part de gâteau ou manger des crêpes tard le soir. Je traine donc quelques kilos que je dois songer à faire partir avant fin Aout. Dorénavant je suis plus tranquille à être moi-même si les autres pensent autrement. Il ne faut pas se laisser influencer par les gens pour un oui ou un non, quand je dors dans mon corps, dans ma tête, ils sont pas là donc que chacun joue sa partition sans déranger l’autre et tout ira pour le mieux.

Tout ça m’a donné plus confiance à être moi, a l’intérieur il y a un équilibre que j’essaie de maitriser un peu chaque jour. A vrai dire c’est cet équilibre que j’essaie d’atteindre depuis que J’ai lu le pouvoir de l’instant présent et je suis heureuse d’avancer à petits pas certes mais un peu plus chaque jour.  Avant j’avais peur de vouloir ce que je veux, parce que je sais ce que je veux et je sais également que le prix à payer pour ce que je veux est également fort mais je me rends compte que tout ce que je fais et vis contribue à me préparer à payer le prix qu’il faut. La vie c’est comme dans un jeu vidéo, si vous n’avez pas pris tous les points, affronter tous les méchants du niveau dans lequel vous êtes, vous ne pourrez accéder aux prochains niveaux. Donc si vous êtes bloqués, vous savez quoi faire. Ce que je remarque aussi chez les gens c’est qu’ils ne se rendent pas toujours compte que pour chacun de nos rêves et désirs, il y a un prix, un sacrifice, du temps de l’effort, du courage, des fois le mépris des autres et qu’il faut apprendre à ne compter que sur soi et Dieu. Après avoir payé tout ça pour le prix, il y a aussi les contraintes de ce prix. Imaginer que vous soyez premier de la classe, vous avez sacrifié du temps de la sueur pour y arriver. Une fois à cette place, vous voulez la conserver donc vous ferez encore plus d’efforts pour y rester et ce avec les responsabilités d’un chef de classe. Donc dans tous les cas sacrifices, sacrifices, sacrifices. Plus vous voulez de grandeur, plus le prix à payer est grand. Rien n’est facile et ce qui est facile est éphémère, donc de grâce soyez indulgents envers vous, vous faites ce que vous pouvez et peu importe si vous pensez ne rien faire, vous faites de votre mieux. Sa me rappelle une copine et moi avions fait une sortie à la plage et là assise au bord de l’eau les pieds dans le sable un bon repas et à boire, elle me sorti qu’elle avait des problèmes, Jai ris aux éclats avant de lui dire au moins toi tu as un petit rien pour aller à la plage et dire que tu as des soucis. Oublie tout ça et profite de l’eau, de la vue et de maintenant parce qu’il y a des personnes qui ont des problèmes mais n’ont pas ce beau contexte pour en parler. Chérie profite !!!
Je finis en vous demandant pourquoi les mauvaises choses et les commérages font plus de bruit que le bien parce que remarquez bien que les célébrités (américaines surtout) construisent leur notoriété sur les mauvaises choses qu’elles font. Les gens aiment les commérages les mauvaises nouvelles. J’ai l’impression que ça donne du courage aux gens de savoir qu’il y a des gens qui font pire qu’eux, du coup leurs conscience est plus tranquille pour critiquer les autres. Le bien par contre met la barre haute et nous force à questionner notre quotidien, nos choix et nos vies donc ça fait moins de bruit que le bien. Tout ça c’est l’hypocrisie de la nature humaine qui fertilise cette attitude. Nous donnons plus de valeur et d’ampleur aux mauvais comportements parce que inconsciemment ça nous rassure de savoir de savoir qu’il y a pire.


Si vous n’êtes pas encore convaincu que c’est l’homme qui est le destructeur de la création et de lui-même je vous demande de reconsidérer la question. Pour le moment de grâce quand quelqu’un fait bien, dites-le-lui, appréciez le geste afin de l’encourager à faire mieux et à motiver les autres. Ça ne coute rien mais ça voudrait peut-être tout dire pour cette personne. Ma copine en me donnant la deuxième leçon de mon année, n’avait pas idée de la portée qu’elle aurait sur moi.  

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